L’agence de la communication « Natou Communication » en partenariat avec le ministère en charge de la Jeunesse et de l’Emploi ; l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE) et l’Agence pour l’emploi des jeunes (APEJ) a organisé, du 25 au 27 Octobre 2018, le Salon de la formation professionnel et de l’Emploi du Mali (SAFEP), 5ème édition au mémorial Modibo Keita. La cérémonie d’ouverture a été présidée par Cheick Oumar Coulibaly, secrétaire général du ministère en charge de la Jeunesse et de l’Emploi. Il avait à ses côtés Mme Assinatou Traoré, directrice de l’agence de Communication Natou ainsi que plusieurs autres invités de marque.
En effet, la 5ème édition du SAFEP 2018 se veut un créneau d’échanges, de rencontres entre acteurs de la formation, les professionnels du recrutement. A cela, s’ajoutent les jeunes hommes et femmes en recherche de l’emplois et d’opportunités entrepreneuriales. Le SAFEP 2018 a pour objectif de promouvoir et sensibiliser tous les acteurs nationaux et les partenaires. A ceux-ci, il faut ajouter les acteurs au développement de la formation professionnelle. Et de l’emploi dans la stratégie de réduction de la pauvreté au Mali.
Vision du SAFEP 2018
En effet, le SAFEP visera à donner un nouvel élan à la formation professionnelle et l’emploi au Mali. En réfléchissant sur des solutions durables pour des jeunes et les femmes. Dans le domaine de l’entrepreneuriat et des initiatives innovantes. Par ailleurs, la problématique principale de cette 5ème édition sera « Convergence politique relative aux compétences de la formation professionnelle et à l’emploi au Mali ». Le salon veut répondre à une nécessité précise de promouvoir l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes. Et de développer les projets des jeunes et des femmes au Mali.
Prendront part à ce grand salon, les jeunes et femmes ; associations des femmes et jeunes ; agences et entreprises nationales et privées. A cela, s’ajoutent agences de placements, bureaux de recrutements, chercheurs d’emplois et ONG nationales et internationales. Cependant, à ceux-ci, il faut le gouvernement et la société civile et d’associations.
Mamadou DOLO
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