Après 4 ans de crise, l’on s’ache mine certainement vers un dénouement qui ne pourra jamais être heureux tant les querelles de personnes et la quête d’intérêts personnels ont fini de diviser un monde dont les acteurs se connaissent depuis plus de 25 ans. On en est arrivé à cette désolation par l’ingérence de certains tenants du pouvoir et la cupidité de certains confrères qui ont fait de la situation une vache grasse, en se faisant passer pour les avocats d’un ou l’autre camp.
Pourtant, nous avons tout à gagner dans, l’apaisement du monde du football, sinon à être en paix avec notre conscience après avoir privé pendant de longues années les vrais amoureux du ballon rond et de nombreux joueurs de pratique. Leur avenir a été pris en otage. De grâce donc, laissons les suffrages décider du choix des dirigeants et acceptons les résultats pour le bonheur de nos enfants !
Des confrères sont devenus plus impliqués que les protagonistes eux-mêmes au point de disloquer pour longtemps la famille de la presse sportive. Les plus extrémistes d’entre nous espèrent encore une nouvelle crise à l’issue de l’élection du nouveau bureau fédéral, prévue le 29 août prochain pour leur seul « Nâ » (sauce en bambara) ou plus prosaïquement leur intérêt personnel.
DAK
Source : Indicateur du renouveau.