Vent debout, plusieurs partis et associations politiques n’entendent pas participer aux Assises nationales de la refondation envisagée par le Premier ministre malien Choguel Maïga. Pour eux, il s’agit d’une manœuvre pour obtenir la prolongation de la durée de la transition qui s’achève en principe à la fin du mois de février 2022.
L’ancien ministre et les autres signataires estiment également ne pas être « dans un processus inclusif. Et il est aujourd’hui grand temps que nous puissions trouver le moyen d’aller dans ce sens-là. Cela nous éviterait de perdre davantage de temps, mais surtout cela nous permettrait d’avoir une unité -une union – autour de cette transition qui doit réussir, qui doit absolument réussir. »
Certains signataires du communiqué demandent l’intervention du président de la transition pour rectifier le tir.