Paix, sécurité, développement et innovations : Aliou Boubacar Diallo sur les chantiers de la reconstruction !

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Aliou Boubacar Diallo
Aliou Boubacar Diallo

Reconstruction, restauration, retour à la sécurité et la paix, le tout sur fond de propositions de sortie de crise et pour soulager le chômage et la misère de masse auxquels le pays est durement confronté. Voilà quelques axes majeurs de la déclaration solennelle que Aliou Boubacar Diallo a adressée, à l’occasion de la commémoration de la fête de l’indépendance  en ce 22 septembre.

Restaurer l’espace de vie, et donc la paix

61000 arbres plantés dans les 20 régions que compte le Mali pour 122 forages en faveur des populations les plus démunies du pays ; voilà quelques-unes des étrennes offertes aux Maliens, pour ce 22 septembre, par le Président d’honneur de l’ADP-Maliba, l’homme d’affaires Aliou Boubacar Diallo.

Décidément, la troisième place de Aliou Boubacar Diallo à la présidentielle de 2018 n’était pas le fruit du hasard. L’homme d’affaires qui a taillé des croupières aux mastodontes du landernau, en les reléguant à leurs dimensions réelles, est plutôt un iconoclaste de la politique par ses innovations et l’originalité de ses engagements auprès du peuple. Car, jusqu’alors, la restauration du couvert végétal représentait le cadet des soucis des acteurs connus de l’échiquier politique malien. C’est donc une première qu’un leader politique et même d’opinion annonce ainsi inscrire son agenda et sa détermination à relever, à travers un engagement écologique affirmé, le défi de la sauvegarde de l’environnement et la lutte contre la déforestation et l’avancée rapide de la désertification. Ceci constitue d’autant une originalité et certainement une vision intégrée des maux multiformes d’un pays dans lequel le partage des espaces de vie participe tout aussi des conflits communautaires récurrents aujourd’hui exacerbés. La symbolique des 61000 arbres plantés porte donc fortement les promesses d’une future germination à la fois de l’espoir et du vivre ensemble séculaire sur lequel reposait jusqu’il y a peu la coexistence entre les différentes communautés, aujourd’hui déchirées.

A la préservation de l’environnement et donc de l’espace de vie des populations, le candidat de l’ADP-Maliba annonce ainsi que « la Fondation Maliba, courant cette année, a construit 122 forages », représentant deux fois l’âge du Mali. Et ce choix n’est pas anodin : pour Aliou Boubacar, « ce chiffre correspond à deux fois 61 pour exprimer notre volonté d’aller vers la deuxième indépendance dont rêve tous les Maliens : l’indépendance économique que j’appelle la nouvelle indépendance »pour relancer le pays vers un futur prometteur.

L’objectif de ce pionnier dans plusieurs domaines des affaires au Mali, c’est de renouer avec le Mali du rêve des pères fondateurs, « le Mali d’une école performante, le Mali d’un bon système de santé de proximité, le Mali des unités industrielles ambitieuses, le Mali du plein emploi sans chômage de masse de nos jeunes ». Mais ce Mali-là d’antan auquel il aspire contraste profondément avec « la corruption, l’impunité, la gabegie, les grèves dans les secteurs clés (qui) sont devenues notre quotidien », déplore Aliou Boubacar Diallo.

Renouer avec l’espoir et Relancer le pays

Plusieurs chantiers ont fait l’objet d’engagements résolus du candidat de l’ADP-Maliba, initiés à travers la Fondation du même nom. Ce dernier a ainsi multiplié « des actions en faveur de la santé, de l’éducation, de la lutte contre le chômage (et)… également formé plus de 1000 femmes à la fabrication du savon et d’autres produits d’entretien », entre autres. Car, « pour combattre le terrorisme, il faut lutter contre la pauvreté et le chômage de masse des jeunes », croit fermement le candidat.

De même, le candidat, comme à son habitude, n’a jamais cessé de soutenir « l’armée avec la construction des forages, des dons de matériels de santé, mais aussi le soutien aux enfants et veuves des soldats tombés » pour la patrie au champ d’honneur.

Par ailleurs, le Président d’honneur de l’ADP Maliba, Aliou Boubacar Diallo, a saisi l’opportunité de l’adresse à ses compatriotes, en ce 61ème anniversaire de l’indépendance, pour dérouler également une série de propositions pour sortir le Mali de « cette crise multidimensionnelle qui perdure depuis 2012, avec son lot de meurtres, de tueries, de déplacés, d’instabilité politique, mais aussi de trafics de tous genres ».

Certes, l’avenir de ce pays et de sa jeunesse paraît sérieusement hypothéqué, mais « ce tableau sombre ne doit pas nous faire perdre espoir… (le) Mali peut se relever fièrement et reprendre sa place dans le continent africain mais également au niveau mondial », est convaincu l’homme d’affaires.

Mais, c’est un impératif selon le candidat de l’ADP-Maliba. « Il en faut plus pour soigner les maux du Mali ». Et pour cela, il faut restaurer  les vertus qui ont fondé et constitué le ferment de cette nation, à travers « plus de solidarité, de cohésion, détermination, de transparence et plus d’initiative auprès du peuple malien ». Ce sont là les « actions que nous menons à travers la Fondation Maliba (complémentaires de). Toutes les autres actions de solidarité menées par d’autres compatriotes et des partenaires au développement (et qui) n’auront d’effet durable que si nous arrivons à construire une paix durable », explique Aliou Boubacar Diallo.

Pour trouver donc une solution durable à la situation de crise interminable, dans laquelle le pays se débat depuis d’une décennie maintenant, celui-ci « propose au gouvernement de transition de procéder à la sélection d’une personnalité consensuelle à Bamako qui sera accompagnée par des délégués ayant une légitimité traditionnelle et qui seront choisies dans chaque cercle du Mali ». En restaurant les légitimités, fondées sur la confiance du terroir profond en ses représentants réels, Aliou Boubacar Diallo estime que « ceci permettra de trouver une solution à la crise multiforme que traverse le Mali ».

« Le Mali ne sera que ce que nous en ferons, nous pouvons ensemble relever le défi de la stabilité sécuritaire et du développement socio-économique …», conclut l’homme d’affaires dans cette adresse aux allures de profession de foi pour l’avenir de son pays, le Mali.

CORRESPONDANCE PARTICULIERE

Source : La Preuve

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