C’est arrivé le mercredi à 19 heures près du marché de Dialakorobougou: Le sac de l’agent commercial de L’Indépendant arraché par deux individus armés avec les recettes

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L’agent commercial de L’Indépendant, Kalil Maïga dit »Kaka » a été victime d’un vol par arrachage de son sac, le mercredi 23 février dernier, près du marché de Dialakorobougou. Le sac contenait les recettes journalières (en espèces et en chèques) ainsi que d’autres documents du journal et de l’intéressé, qui a déposé plainte contre X au Commissariat de police de Yirimadio. Les policiers ont déjà pu retrouver la chemise contenant les chèques.

Au terme d’une journée de dur labeur, notre agent commercial, Kalil Maïga dit Kaka regagnait son domicile. Alors qu’il était garé au bord de la route bitumée, devant le marché de Dialakorbougou, où il venait d’effectuer des achats, deux individus sur une moto, dont l’un détenait une arme, surgissent  pour lui arracher son sac, avant de poursuivre leur course, à vive allure. Malgré sa détermination à les suivre, accompagné de deux autres motocyclistes, les deux malfrats ont pu disparaitre dans la nature. Certes, notre collaborateur n’a pas été blessé physiquement, mais il a perdu son sac contenant des recettes journalières de la vente du journal, qu’il recouvre régulièrement auprès des revendeurs  ainsi que des chèques émis par plusieurs structures en règlement de leurs annonces. Le sac renfermait également ses documents et pièces personnels. Il avait également perdu son téléphone portable, au cours des évènements, qui a été retrouvé par la suite.

Après ce vol, une plainte a été déposée contre X auprès du Commissariat de police de Yirimadio, qui a ouvert des enquêtes.

Heureusement, moins de 24 heures après les faits, les agents de ce Commissariat ont été alertés suite à la découverte d’une chemise abandonnée dans une maison inachevée, à Niamana, vers le marché à bétail. Une fois sur place, les limiers découvrent que la chemise en question contenait des chèques et le cachet au nom du journal  »L’Indépendant », que les malfrats auraient abandonnés, pour, certainement, s’éviter les risques d’être retrouvés à travers ces indices.

Les enquêtes se poursuivent afin de mettre les auteurs hors d’état de nuire.

Il faut souligner que, malgré la détermination affichée des autorités en charge de la sécurité, la ville de Bamako est devenue, ces dernières années, un lieu d’insécurité généralisée avec des agressions armées en pleine journée.

SourceL’Indépendant

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