S’il y a aujourd’hui une préoccupation commune à l’ensemble des formations politiques de la place, c’est bien le souci partagé par tous de la suppression, en vue, par la Transition du financement public des partis politiques. Si cette mesure est prise, comme cela est recommandé par un Comité d’experts, cela conduirait inexorablement à la faillite pour certains, à la saisie éventuelle des biens et des comptes bancaires pour d’autres.
Sinon, carrément à des procès contre des dirigeants de formations qui ne seraient pas en capacité de rembourser les banques. C’est dire que la mesure de suppression, si elle devenait effective, aura de sérieuses conséquences pour l’ensemble des formations politiques, habituées à empocher, chaque année, cette manne financière. Mais dont la gestion au niveau des états-majors des différents bénéficiaires continue de susciter d’énormes interrogations, notamment auprès des contribuables.
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Source: l’Indépendant