De mémoire de quinquagénaire, on se rappelle des guerres qui ont sillonné
l’Afrique subsaharienne pendant les 30 années passées sous le nez et la
barbe des dirigeants Africains qui acceptent de mettre leurs pays sous tutelle.
De la France et ses alliés avec la complicité inavouée des Nations unies qui se
dit gardienne de paix pour toutes les nations. Force est de constater qu’il n’y
a que désolation et lamentation partout ou elle a accompagné les
superpuissances dans leur quête égoïste aux ressources naturelles des pays
africains qui ont subi des guerres fratricides, des génocides entre autres,
des guerres civile au Soudan. Mozambique, Éthiopie-Érythrée-Somalie, au
Libéria, en Sierra Leone, en Ouganda, au Tchad au Rwanda, au Congo, en
la Côte d’ivoire, en Libye et maintenant au Mali.
Les massacres perpétrés a Ogoussagou la semaine dernière a mis au grand
jour aux yeux de tous les maliens, les mauvaises intentions de la France
pour leurs pays pour lequel, elle se dit salvatrice suite a son l’opération
SERVAL de 2012 qui avait comme dessein caché de définir la Partition du
Mali après leur entrée a Kidal dont l’accès fut interdite à l’armée Malienne
depuis. Un Éveil des conscience qui a conduit les maliens a se rendre à
l’évidence que les guerre fratricides et tribales ne sont pas siennes Pays de
d’hospitalité et de cousinage, le Mali reste clair sur sa détermination de
demeurer comme tel, par son aspiration à la paix entre toutes les races qui
ne font qu’un MALI.
L’Afrique intertropicale étant la région du monde où , sous des formes
diverses (des guerres civiles ou « interethniques », ou guerres
internationales), se rencontrer depuis trente ans, le plus grand nombre de
conflits armés. Ces « conflits armés » Sont de vraies opérations militaires
engageant des combattants organisés, opérant sous une autorité unifiée et
visant nominalement (sinon toujours dans les faits) des objectifs autres que
le pillage. De surcroît, ces conflits ont affecté la quasi-totalité de l’aire
géographique considérée. Sur les quarante-cinq pays africains localisés au
sud de l’équateur, seule une dizaine, tout au plus, a échappé à une situation
quasi chronique de collective tandis que près de la moitié ont connu des
guerres entraînant, directement ou indirectement, la mort d’au moins dix
millions de personnes. Dans un continent déjà largement éprouvé par les
effets meurtriers des désordres climatiques (notamment les épisodes de
sécheresse des années 1972 à 1976), le nombre de victimes des guerres
africaines a largement surpassé les chiffres des catastrophes dites «
naturelles ». Depuis les débuts de la guerre civile du Soudan (environ 2
millions de morts depuis 1958) jusqu’aux conflits plus récents du Liberia, de
la Sierra Leone, des deux Congo, de l’Ouganda et de la Côte-d’Ivoire (entre
500 000 et 1 million de morts), les chiffres des victimes de guerre dans
l’Afrique contemporaine sont comparables à ceux des grands conflits
européens du XiXe siècle et même, pour certains pays, dépassent ceux de la
Première Guerre mondiale1 : Biafra (1967-1970) : 2 millions de morts ;
Tchad (guerre civile chronique depuis 1965) : 300 000 à 500 000 morts ;
Angola (guerre civile depuis 1975 faisant suite à la guerre de libération
nationale) : 700 000 à 1 million de morts ; Mozambique (guerre civile de
1975 à 1992 faisant suite à la guerre de libération nationale) : peut-être 1
million et demi de morts ; Éthiopie-Érythrée-Somalie (de 1961 à nos jours) :
000 morts ; Rwanda-Burundi (plusieurs guerres civiles depuis 1964, dont le
génocide de 1994) : plus de 1 million de morts.
Alors a nos dirigeant de comprendre que nous ne sommes pas contre eux,
mais tous pour le Mali. Qu’ils sachent que la France n’est pas pas notre ami,
mais ne vise que ses propres intérêts financiers. A nos dirigeants de
comprendre cela et de faire autant pour les siens Il est vraiment temps de
mettre fin toutes forme d’alliances d’ordre militaire avec elle. Si nous disons
que la France n’est pas Notre ami, il s’agit d’un système de gouvernement
et non de tout un. Peuple. Il y a des Français de bonne volonté qui plaident
pour notre cause comme ce parlementaire, qui a voté Non contre l’envoie
des forces Serval chez nous. Ce député qui a savonné son système de
gouvernement et ses dirigeants aux intentions malicieuses par l’envoie des
forces SERVAL au Mali sans l’aval du parlement, dans un discours de plus
d’une heure d’horloge.
A La presse de de jouer son rôle d’informateur et de baromètre de la
democratie et gardienne de l’information au lieu de se déclarer une guerre
entre confrères, à travers les lignes au profit de tel ou tel parti politique. On
assiste à son musèlement par des nominations à de tels ou tels postes clefs
depuis un certain moment. Il-a-y- il encore une presse fiable au Mali, digne
de celle des année 90? Si y a en. c’est peu car il faut mentir pour avoir ou
garder les contrats. Parler sous pseudo par peur de se faire enlever par des
Loubards à la solde des détenteurs de pouvoirs ou pire. se faire flinguer par
de véritables escadrons de la mort au service des mêmes détenteurs du
pouvoir que ce soit légitime ou illégal. Tout se passe sous le nez et la barbe
d’un système judiciaire irresponsable et corrompu qui n’hésite pas sauter sur
la moindre erreur d’un journaliste, criant aux aboies pour inculper ce
dernier.. Les cas de Birama Touré et du chroniqueur Kante Madou, J’en
passe sont des exemples parmi tant d’autres.
Comment un journal peut survivre sans subventions avec le nombre d’achats
réduit a zéro s’il faut le dire? La Presse aujourd’hui au Mali est devenue un
vrai organe de propagande pour les pouvoirs en place. Je dis bien les
pouvoirs, car la religion est sur le point de prendre dominance sur le pouvoir
en place.
C’est une bonne chose pour les religieux de faire entendre leur voix, mais
qu’elle fasses très attention de ne pas faire croire au peuple que la religion a
le pouvoir de gouverner ce Mali, et c’est la ou ca devient un terrain
extrêmement glissant. Quand in religieux revient politiens. Il doit
i.owrativement abandoned don tuban au meme totre au’un soldat abandone
son fusil et ses galons.
Henrie SAM TRAORE
Source: Aube d’Afrique