Après la mort de treize soldats français de la force Barkhane dans la collision de leurs hélicoptères, lundi soir dans le nord du Mali, les hommages aux victimes ont afflué dans les classes politiques des deux pays. Accompagnés, pour certains, d’une remise en cause de la présence de troupes françaises au Sahel.
En France, les plus hautes instances politiques et militaires – chef de l’État, ministre et chef d’état-major des armées – ont salué l’engagement des treize soldats morts dans l’accident.
À l’hexagone Balard, siège de l’état-major situé à Paris, on serre les rangs, mais l’émotion est vive ce mardi après-midi. « Nous sommes debouts, unis, résilients », affirme Florence Parly, ministre des Armées.
Source : Rfi