Annoncée dans quelques mois, la longue série d’élections ne s’annonce pas sous de bons auspices pour les partis politiques privés d’aides. Certains sont dans un état financier désastreux comme l’Adema Pasj qui croule sous une dette estimée à plusieurs centaines de millions de francs CFA pour justifier en partie le report de certaines instances du parti.
La situation est identique pour plusieurs autres formations politiques qui cherchent par tous les moyens un bailleur. Il n’est pas là à écarter que ça sera aux plus liquides et aux offrants que ces pauvres chapelles vont s’offrir. Et la perspective de tenir 4 scrutins dans un intervalle de 3 mois n’est pas pour arranger leur situation surtout qu’on ne peut plus compter sur certains présidents comme Sassou, Bongo et d’autres qui font face à des situations chaotiques dans leurs pays respectifs.
DAK
Source : L’Indicateur du Renouveau