Encore un autre paradoxe malien : tout le monde, surtout du microcosme politique, est d’accord sur la nécessité de réformer les textes, mais tout le monde est d’accord que nos politiciens ne seront jamais d’accord pour mener à bien la mise à plat de tous nos textes en vue de les réadapter aux réalités nouvelles ou à venir.
Ils ne seront pas sur la même longueur d’onde pour des questions d’orgueil et d’intérêt. D’aucuns s’opposent parce qu’ils n’ont pas été choisis pour mener le dialogue ou ils présagent que leurs idées ne seront pas prises en compte.
DAK