Le chef de file de l’opposition se veut droit dans ses bottes à propos de la tenue du Dialogue politique inclusif. Contrairement à certains partis du regroupement FSD, il reconnaît la nécessité de l’exercice, notamment pour la recherche de solutions politiques consensuelles et applicables.
A l’opposé de Modibo Sidibé, il ne veut pas d’une conférence nationale où on va mélanger les choux et les serviettes alors que la crise est d’ordre politique. Il ne veut pas d’un grand bazar avec des individus qui viendront seulement, avec aucune proposition concrète. Enfin, il ne veut pas d’une Conférence d’entente nationale dont les résultats n’ont été ni consensuels ni traduits en projets politiques.
Autant dire que Soumi partira au Dialogue avec des préjugés loin d’etre favorables. C’est aux organisateurs de dissiper ses craintes.
DAK
Source: L’indicateur du Renouveau