Festival du Ciné Droit libre, 4em édition du 5 au 9 mars : le cinéma au service de la promotion des droits humains

0
101

L’institut français a servi des journalistes le 1e  mars dernier,  à la faveur d’une conférence de presse sur les innovations de la 4e édition du Ciné Droit Libre. Ladite conférence était, entre autres animée par le coordinateur dudit festival du Burkina Faso, Abdoulaye Diallo, le directeur de l’Institut français Patrick Giraudo, le réalisateur et journaliste  de TV5 Monde Kaourou Magassa et Moctar Barry de Afrique 24. L’édition de cette année est placée sous le thème  « Justice levez-vous ! ».

L’édition de cette année est parrainée par le cinéaste Cheick Oumar Sissoko et le président  des droits  humains et de la liberté d’expression du cinéma,  Me Oumar Mariko. Par ailleurs, La 4e édition du festival Ciné droit libre se tiendra du 5 au 9 mars dans les différentes  salles d’audiences  de la capitale. En outre,  il importe de souligner qu’à l’ouverture du festival, le public sera émerveillé par la projection du tout nouveau  film de Kaourou Magassa avec comme titre « Mouniou ni sabali ». le nom  dudit film se repose selon son réalisateur sur un principe éducationnel surtout, dit-il,   de vie dont  l’objectif recherché  est de donner la parole aux femmes, victimes de violences  sexuelles  et autres maltraitances en Afrique,  plus particulièrement au Mali.

Les innovations

Les organisateurs du festival ont formulé un certain nombre de particularité de cette édition sur lesquelles ils ont voulu bien  insisté.il s’agit du concours d’art oratoire sur les actualités du continent et ailleurs, un spectacle humour avec Adama Dahico de la Côte-d’Ivoire,  un autre de Yoro «  le djihadiste », de vibrants hommages y  seront  faites aux  femmes  en l’occasion du 8 mars, entre autres. En effet, i ils ont fait savoir que le festival du Ciné droit libre 2019 sacrifiera à sa tradition de promouvoir et de défendre les droits  humains y compris  de la liberté d’expression   à travers le cinéma.  Avant d’inviter les populations à sortir massivement pour donner du sens à cette manifestation culturelle du cinéma et de laisser entendre que la célébration dudit festival contribue à conscientiser toutes les sensibilités du pays  à être sensibles à la protection des droits humains.

Yacouba COULIBALY

Yacoubatenimba74@gmail.com

Laisser votre commentaire