Cette posture de la plus haute instance judiciaire annonçait déjà une défaite des frondeurs de la Céni qui vient d’être définitivement consommée. Et, cerise sur le gâteau, la Cour suprême a en outre sommé lesdits frondeurs de restituer – à défaut de pouvoir justifier – les fonds dont ils ont disposé dans le cadre de la supervision de l’élection présidentielle. A noter que chaque membre a été responsabilisé pour une région administrative dont le district.
Lors du récent passage d’auditeurs des fonds publics commandités par le département des Finances nombre de frondeurs de la Céni n’ont pas été capables de fournir les justificatifs de leurs dépenses et en ont voulu à leur président de n’avoir pas été capable d’empêcher l’audit.
La Rédaction
Source: Le Témoin