Le mardi 06 octobre 2020, aux environs de 23 heures dans le quartier de N’Tomikorobougou en Commune III du District de Bamako, une dispute éclata entre Mariam Sangaré, fille de l’Imam dudit quartier et son mari, Boubacar Coulibaly dit Bakarin, chef mécanicien de son état. Victime de plusieurs coups de couteau dans le dos par son épouse, le mari a rendu l’âme, le lendemain.
La violence conjugale est exercée par un des conjoints sur l’autre, s’inscrivant dans un rapport de domination et se distinguant des disputes conjugales. Elle s’exprime par des agressions verbales, psychologiques, physiques, sexuelles, des menaces, des pressions, des privations ou des contraintes pouvant causer chez la victime des dommages psychologiques, physiques, un isolement social, voire la mort.
Dans nos sociétés, ces derniers temps, les violences conjugales sont dans les deux sens très fréquents, contrairement à ce que pensent les féministes. Beaucoup d’hommes sont choqués, blessés et mêmes tués par leurs épouses violentes. Par suite de crime passionnel. Ce cas de meurtre s’est déroulé au quartier de N’Tomikorobougou en Commune III du District de Bamako. Alerté, un voisin est venu afin de secourir les deux conjoints qui en sont venus à un combat corps à corps. Le voisin qui (…)
Source : Nouvel Horizon