Scandale au sommet de L’Etat: Le fils d’un haut cadre crache sur le président d’une des institutions de la République.

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Au Mali d’IBK, rien n’est plus surprenant. On va de mal en pis. Les tenants du pouvoir et leurs rejetons pensent qu’ils ont un droit de vie et de mort sur le peuple; au nom duquel ils exercent un mandat. En effet, un des fils à papa dont le nom est cité dans toutes les sales affaires de notre pays, aurait eu; il y a quelques mois, maille à partir avec le président d’une de nos institutions.

Selon des sources concordantes; le fils d’un haut cadre de premier plan très furieux a débarqué dans le bureau du président de l’institution pour lui demander des explications; quant au non respect de la consigne qu’il aurait donnée à celui-ci. Il était question, toujours selon nos sources, de faire la peau à un opposant politique. Notre fils à papa aurait voulu que le premier responsable de l’institution brise les ambitions de l’homme politique tombé en disgrâce avec le pouvoir en bloquant son dossier à son niveau. Il nous a été rapporté que sa pression n’a pas empêché que le dossier fasse le circuit normal dans l’administration avant d’atterrir dans le service courrier de l’institution.

 

Encore, un autre échec pour le fils du premier responsable de notre pays.

Au niveau de l’institution, le dossier ne souffrait d’aucune anomalie et on ne pouvait pas le mettre à la poubelle. Cela comme le souhaitait le jeune qui se croit tout permis dans notre pays. A sa grande surprise, le dossier de l’homme politique a été retenu et pire il est arrivé en tête. Selon d’autres sources, il était le meilleur parmi tant d’autres.

Devant cette défaite cuisante, il n’aurait pas pu retenir ses larmes. Il aurait au téléphone tenu des propos désobligeants à l’égard du président de l’institution qui n’a pas voulu le suivre dans le tripatouillage des textes. On apprend qu’il ne se serait pas contenté de l’appel téléphonique. Le fils à papa, très furieux, aurait débarqué dans son bureau pour déverser son venin sur le premier responsable de l’institution. Comme si cela ne suffisait pas, il aurait craché sur lui avant de claquer la porte.

Yoro SOW

Inter de Bamako

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