Au Carrefour des jeunes, le jeudi 12 décembre, le parti Front Africain pour la Mobilisation et l’Action (FAMA) a tenu un point de presse, pour exprimer son soutien au président de la République du Mali, Ibrahim Boubacar Keïta, face à la demande de clarification de son homologue français par rapport à sa clarification sur la présence de la Force Barkhane au Mali. Ce point de presse était animé par Abdoulaye Camara, chargé de communication du parti avec à ses côtés d’autres responsables de cette formation politique.
Selon M. Camara, le parti FAMA réitère son soutien indéfectible au chef de l’Etat qui a toujours privilégié les intérêts supérieurs de la Nation malienne partout où il est présent. Par la même occasion, il a invité l’ensemble des fils et filles de la nation de soutenir leur président dans ses actions quotidiennes. « Pour qu’ensemble nous puissions trouver des voies et moyens appropriés pour relever vaillamment tous les défis auxquels le pays est confronté » a-t-il expliqué.
En plus, le chargé de communication du parti FAMA, a rappelé que le Mali est une grande Nation, une Nation de grands Hommes, qui a su relever les grands défis. Aussi, témoignera-t-il, le Mali a toujours été aux côtés des autres au moment où ils ont eu besoin de son soutien. Il est tout à fait normal, estime le communicateur Camara, que le Mali bénéficie en retour du soutien des autres en cas de nécessité. « Mais que ce soutien se fasse dans la sincérité, dans le plus grand respect mutuel et dans l’intérêt supérieur du Mali » a-t-il précisé.
Par ailleurs, M. Camara, au regard de la situation sécuritaire du pays a réaffirmé le soutien de son parti aux forces armées et de sécurité maliennes pour la défense et la sécuritaire des Maliens. « Le parti FAMA salue le Gouvernement par rapport à sa décision prise à l’encontre du Chef de la représentation de la MINUSMA à Kidal. Par ailleurs, le Parti FAMA invite le peuple malien à faire du Dialogue National Inclusif un véritable cadre d’échanges, de partage et de cohésion sociale » a conclu Abdoulaye Camara.
Par Mariam SISSOKO
Source : Le Sursaut