Viol collectif à NAFADJI commune I BAMAKO : Cinq ados écroués pour agression et viol collectif d’une fillette de 16 ans.

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Sekou Salah Karambé, Kaba Traoré, Lamine, Mamadou Coulibaly Fousseyni Diarra sont des agresseurs de la fille dont nous préférons garder son nom  dans l’anonymat.

Les agresseurs  sont aux nombres de 5 personnes, âgés de 18 à 25 ans, ils sont tous été interpellés et placés en garde-à-vue avant de leur transfères demain matin devant le procureur du tribunal de grande instance de la commune I du district de Bamako pour agression sexuelle et viol collectif d’une mineure de 16 ans.

Dans la nuit du dimanche 01 septembre 2019 vers le petit soir, six (6) garçons, auraient abusé d’une jeune fille révolue à NAFADJI commune I de Bamako. Les faits se seraient déroulés durant plusieurs heures dans la chambre d’un des auteurs.

Ils sont passés aux aveux et les cinq malfrats violeurs ont été placés en garde à vue au Commissariat de police du 6éme arrondissement, l’un a pris la tangente.

La jeune fille connaissait bien aux moins une partie de ses agresseurs. Ces derniers, face à l’imperturbable commissaire divisionnaire TAPPA DIALLO, n’ont eu d’autre choix que de passer aux aveux, l’un accusant les quatre autres de les avoir influencés. Car selon lui la jeune fille à l’habitude de monnayer son corps pour cinq mille francs (5000) Franc CFA au quatre autres. Il se dit étonner de la part de la jeune fille de porter plainte pour agression sexuelle et viol collectif alors qu’elle avait à plusieurs reprises acceptée avec bien des avances à des actes sexuelles avec plusieurs garçons.

En tout état de cause, la fille est mineure à peine 16 ans, donc, son consentement est nul aux yeux de la loi. Et puis c’est la victime elle-même qui a porté plainte pour agression sexuelle et viol collectif. Et a même accompagné le service de Brigade de Recherche conduit par le jeune visionnaire JAPON.

Selon les témoins les agresseurs violeurs n’ont même pas pris conscience de la gravité des faits commis au moment de leurs interpellations.

Cela donne à réfléchir…

SourceKojugu Keleba

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